Sous Windows, pour savoir quel processus utilise un port, lancez la commande Get-Process
dans Powershell :
Exemple pour le port 5433
:
Get-Process -Id (Get-NetTCPConnection -LocalPort 5433).OwningProcess
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Sous Windows, pour savoir quel processus utilise un port, lancez la commande Get-Process
dans Powershell :
Exemple pour le port 5433
:
Get-Process -Id (Get-NetTCPConnection -LocalPort 5433).OwningProcess
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Sous Linux, l’utilitaire ncdu (pour NCurses Disk Usage) permet de trouver quel fichier ou répertoire vous bouffe tout votre espace disque.
Il est disponible sur les dépôts officiels Debian et Ubuntu et donc facile à installer.
sudo apt install ncdu
ncdu
Note : ncdu a été réécrit dans une v2 encore récente. Selon la version des dépôts, c’est peut-être la v1 qui sera installée.
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Lorsque docker crée des réseaux virtuels entre ses conteneurs, il utilise des plages IP.
En général pas de problème, il utilise des plages non couramment utilisées.
Par contre, si ses plages habituelles ne sont pas disponibles (ou pour d'autres raisons ?),
il est possible qu'il en utilise une autre, par exemple 192.168.x.x
.
Cela peut alors être problématique, surtout si vous utilisez un VPN ou des ressources réseaux en parallèle,
car cette plage est classiquement utilisée.
On peut alors avoir un conflit d'adressage et les ressources réseaux ou du VPN peuvent ne plus être accessibles.
Pour corriger ça, une première approche consiste à killer le réseau (créé par docker) qui pose problème puis à le recréer.
Pour cela :
# Listage des réseaux créés par docker
docker network list
# Identifiez le réseau correspondant au conteneur qui a causé le problème (copiez son ID)
# Pour vérifier la plage IP qu'il utilise :
docker network inspect <ID>
# Suppression du réseau qui pose problème
docker network rm <ID>
Si cela ne suffit pas, essayez la suite de la procédure proposée ici.
Modifié le :
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Pendant le lancement du système, des services sont démarrés.
L'ordre de lancement a une importance, car beaucoup de services ont besoin d'autres services pour fonctionner.
Sous linux il y a donc la notion de runlevel (cf. wikipédia). Les runlevels (niveau d'exécution) vont de 0 à 6 et se font un à un dans l'ordre croissant.
Il arrive qu'une erreur se produise lors du lancement d'un service à un certain runlevel, bloquant ainsi le démarrage.
Il est possible de forcer le passage au niveau suivant, même si tout n'est pas encore terminé.
Pour cela appuyez sur les touches suivantes durant l'initialisation : CTRL
+ ALT
+ F<NIVEAU>
Avec <NIVEAU>
le niveau de runlevel vers lesquels passer (ex: CTRL
+ ALT
+ F4
pour passer au niveau 4).
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Pour supprimer tous les conteneurs docker :
docker rm $(docker ps -a -q)
Pour supprimer toutes les images docker :
docker rmi $(docker images -q)
Pour supprimer tous les volumes docker :
docker volume prune
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Sous Linux, vous pouvez utiliser la commande suivante pour savoir quel processus utilise un port :
# Pour le port 80
netstat -tlnp | grep 80
Cela retournera par exemple :
tcp6 0 0 :::80 :::* LISTEN 32198/apache2
L'ID du processus étant ici 32198
.
Remarque :
Pour voir tous les processus, il sera peut-être nécessaire de lancer la commande en tant que root
(ou avec sudo
).
Modifié le :
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Si vous voulez accéder à votre application via un contexte spécifique, il faut ajouter cette ligne dans votre virtual host apache :
Alias /mon-contexte /chemin/vers/mon_appli/web
Si votre virtual host répond au nom de domaine www.mon-site.com
par exemple,
votre site sera maintenant accessible via l'URL www.mon-site.com/mon-contexte
.
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Par défaut, les dépôts de Debian 8 propose d'installer PHP 5.6. Si vous voulez la version 7, procédez ainsi.
apt
, en tant que super administrateur :echo 'deb http://packages.dotdeb.org jessie all' > /etc/apt/sources.list.d/dotdeb.list
wget -O- https://www.dotdeb.org/dotdeb.gpg | apt-key add -
apt update
gd
, mcrypt
, php-pear
, intl
:apt-get -y install php7.0 libapache2-mod-php7.0 php-pear php7.0-gd php7.0-mcrypt php7.0-intl
Globalement, les paquets portent le même nom que ceux pour PHP 5.6.
Modifié le :
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Pour installer la version de PHP disponible par défaut sur le dépôt (PHP 5.6 pour Debian 8), procédez comme suit. Pour installer PHP 7, suivez cet article à la place.
sudo apt-get install libapache2-mod-php5
gd
, mcrypt
, php-pear
, intl
:sudo apt-get install php5-gd php5-mcrypt php-pear php5-intl
Pour curl
, il s'agit du paquet php5-curl
.
/etc/php5/apache2/php.ini
.
À la fin de la section [Miscellaneaous]
, ajoutez la ligne suivante pour spécifier la locale à utiliser :date.timezone = "Europe/Paris"
sudo service apache2 restart
index.html
de votre site (ex : /var/www/mon-site/index.html) et
créez le fichier index.php
à la place :<?php
phpinfo();
?>
Si vous avez besoin de Composer, installez-le via ces commandes :
sudo apt-get install curl
curl -sS https://getcomposer.org/installer | php
sudo mv composer.phar /usr/local/bin/composer
# Vérification
composer --version
Modifié le :
Publié le :
Remarque :
Si vous préférez MySQL, vous pouvez suivre ce tutoriel à la place.
Il vous faudra peut-être également ajouter la ligne suivante au fichier /etc/apache2/apache2.conf
puis redémarrer Apache :
Include /etc/phpmyadmin/apache.conf
sudo apt-get install postgresql postgresql-client postgresql-doc
ls /etc/postgresql/
sudo pg_dropcluster --stop 9.4 main
sudo pg_createcluster --start -e UTF-8 9.4 main
Par défaut, PostgreSQL n'est pas accessible à distance (ex: avec votre IDE sur votre poste de dev).
Pour l'autoriser, modifiez le fichier le fichier de configuration /etc/postgresql/<version>/main/pg_hba.conf
,
en remplaçant la ligne suivante par celle du dessous :
#local all all peer
local all all trust
Redémarrez le service postgresql
:
sudo /etc/init.d/postgresql reload
Quand on utilise MySQL, on le couple souvent avec PHPMyAdmin, pour pouvoir l'administrer via une interface web. Côté PostgreSQL, il n'y a pas d'outil aussi abouti.
Adminer ne s'en tire tout de même pas si mal. D'ailleurs, il permet aussi de se connecter à plein d'autres SGBD, dont MySQL.
Pour l'installer, suivez les commandes suivantes :
sudo mkdir /var/www/adminer
sudo cd /var/www/adminer
sudo wget https://www.adminer.org/latest.php
sudo mv latest.php index.php
sudo chown -R phpuser:phpuser .
Ensuite si vous utilisez les virtual host pour votre site, ajoutez-en un pour adminer.
Pour cela créez par exemple le fichier /etc/sites-available/adminer.conf
:
<VirtualHost *:80>
ServerName db.adminer.dev
ServerAdmin webmaster@localhost
DocumentRoot /var/www/adminer
ErrorLog ${APACHE_LOG_DIR}/adminer.error.log
CustomLog ${APACHE_LOG_DIR}/adminer.access.log combined
</VirtualHost>
Remarques :
db.adminer.dev
.hosts
de votre poste de
dev pour pouvoir l'utiliser.Activez maintenant ce virtual host et redémarrez Apache :
sudo a2ensite adminer
sudo service apache2 reload
Par défaut, la base de données postgres
a été créée. Son propriétaire s'appelle aussi postgres
.
Un nouvel utilisateur système postgres
a lui aussi été créé.
sudo su - postgres
createuser --interactive mypguser
Avec les options suivantes :
Non
Oui
Non
Modifiez son mot de passe :
psql
> ALTER USER mypguser WITH PASSWORD 'new_password';
createdb -O mypguser mypgdatabase
psql mypgdatabase
> ALTER SCHEMA public OWNER TO mypguser;
sudo /etc/init.d/postgresql reload
Connectez-vous à la base avec le nouvel utilisateur :
psql -d mypgdatabase -U mypguser
Si vous n'avez pas d'erreur, alors c'est prêt (\q
pour quitter la console postgreSQL).
Modifié le :
Publié le :
Lancez simplement la commande suivante :
sudo apt-get install apache2
sudo nano /etc/apache2/conf-available/charset.conf
AddDefaultCharset UTF-8
Pour éviter des problèmes de droits, vous pouvez modifier l'utilisateur et le groupe unix utilisés par Apache.
Par défaut avec Debian, il s'agit de www-data:www-data
.
Pour en changer, modifiez le fichier /etc/apache2/envvars
avec les droits administrateur :
export APACHE_RUN_USER=phpuser
export APACHE_RUN_GROUP=phpuser
Pour activer le module rewrite
d'Apache et redémarrez Apache, utilisez ces commandes :
sudo a2enmod rewrite
sudo service apache2 restart
cd /var/www
sudo mkdir mon-site
sudo chown -R phpuser:phpuser mon-site
index.html
à l'intérieur, contenant par exemple <h1>Hello world !</h1>
Si vous souhaitez accéder à votre site via un nom de domaine spécifique (plutôt que par son IP), ou si vous en avez besoin de plusieurs pour accéder à votre application, il vous faut configurer un virtual host.
Créez un nouveau fichier .conf
dans le répertoire des sites disponibles d'Apache
/etc/apache2/sites-available/
. (Ex: /etc/apache2/sites-available/mon-site.conf).
<VirtualHost *:80>
ServerAdmin admin@mon-site.com
ServerName www.mon-site.com
ServerAlias *.mon-site.com
DocumentRoot /var/www/mon-site/
<Directory /var/www/mon-site/>
Options FollowSymLinks
AllowOverride All
Require all granted
</Directory>
ErrorLog ${APACHE_LOG_DIR}/mon-site.log
ServerSignature Off
</VirtualHost>
Explications :
ServerAdmin
: Adresse email de la personne à prévenir en cas de problème côté Apache.ServerName
: Nom de domaine que vous souhaitez associer au serveur.
Il doit être dans les DNS du serveur (ou si vous êtes en mode dev, dans votre fichier /etc/hosts
).ServerAlias
: Autres domaines ou sous domaines qui prendront en compte le même fichier vHost.DocumentRoot
: Répertoire vers lequel Apache redirigera les adresses IP et ports spécifiés
plus haut (*:80).Directory
: Cette instruction permet d'ajouter des options et règles au répertoire web :
FollowSymLinks
: Active le suivi des liens symboliques dans ce répertoire.Activez votre virtual host, désactivez éventuellement celui par défaut puis redémarrez Apache :
sudo a2ensite mon-site
sudo a2dissite default
sudo service apache2 restart
Appelez la page d'accueil de votre site via un navigateur ou wget depuis votre répertoire utilisateur :
cd ~
wget mon-site.com
cat index.html
Vous devez retrouver le contenu de votre fichier index.html
:
<h1>Hello world !</h1>
Modifié le :
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Cette suite d'articles donne un exemple d'installation d'un environnement LAPP sous Debian, destiné au développement (= pas pour la production). Il peut tout à fait servir de base pour un LAMP (= MySQL à la place de PostgreSQL)
Dans cet exemple les configurations choisies sont en italique.
root/******
apt-get install sudo
Ajoutez l'utilisateur phpuser
au groupe sudo :
adduser phpuser sudo
Par défaut, Debian 8 n'autorise pas cette connexion, ce qui est gênant lors de l'utilisation d'un outil comme WinSCP, Filezilla ou Nautilus pour explorer les fichiers.
Pour l'autoriser, modifiez le fichier /etc/ssh/sshd_config
et remplacer la ligne :
PermitRootLogin without-password
par
PermitRootLogin yes
Redémarrez ensuite le service SSH :
service ssh restart
Modifier le fichier .bashrc
permet d'améliorer l'affichage de la console et
d'ajouter des alias de commande.
.bashrc
avec nano et décommentez les lignes suivantes :alias ll='ls -l'
alias la='ls -1'
alias l='ls -CF'
Si vous voulez avoir une console colorée, décommentez la ligne suivante :
force_color_prompt=yes
et modifiez la ligne suivante en la remplaçant par celle du dessous :
#PS1='${debian_chroot:+($debian_chroot)}\u@\h:\w\$ '
PS1='\[\e[33;01m\]\u \[\033[31;01m\][\[\033[0;37m\]\w\[\033[31;01m\]] \$\[\033[00m\] '
export PATH=$PATH:/usr/sbin
sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade
sudo apt-get dist-upgrade
/etc/apt/sources.list
avec nano en tant qu'administrateur :deb http://security.debian.org/ etch/updates main contrib non-free
sudo apt-get update
sudo apt-get install build-essential
Installez les outils dont vous avez besoin (ex: Screen, ...).
Publié le :
Pour connaître le poids total des fichiers (et sous-répertoires) que contient un répertoire,
vous pouvez utiliser la commande du
:
du -shL mon/repertoire
Explication :
Les options s
, h
et L
permettent respectivement de
faire la somme, afficher un poids lisible par un humain (en Ko, Mo, ...)
plutôt qu'en octets et suivre les liens symboliques (plutôt que de compter le poids du lien).
Pour connaître le nombre de fichiers il faut cette fois composer avec plusieurs commandes :
find -L mon/repertoire -type f | wc -l
Explications :
find
avec l'option -type f
permet de lister les fichiers-L
permet de suivre les liens symboliqueswc -l
compte le nombre de lignes (ici celles retournées par find
)Modifié le :
Publié le :
Si vous êtes sous une distribution avec apt d'installé, vous pouvez rechercher un paquet avec la commande suivante :
apt-cache search terme1 terme2
Remarques :
apt-cache search php.*memcach
.Si vous avez aptitude d'installé, une commande plus simple à mémoriser existe :
aptitude search terme1 terme2
Modifié le :
Publié le :
Pour créer un lien symbolique sou linux, il suffit d'utiliser la commande suivante :
ln -s chemin/vers/la/cible/du/lien chemin/vers/lien
Le premier paramètre contient le répertoire ou fichier à cibler, et le second le chemin/nom du lien à créer.
Les chemins peuvent-être relatifs ou absolus.
Modifié le :
Publié le :
Il est parfois utile de choisir avec quel utilisateur système Apache est exécuté.
Pour le modifier, éditez le fichier /etc/apache2/envvars
et modifiez les lignes suivantes :
export APACHE_RUN_USER=www-data
export APACHE_RUN_GROUP=www-data
www-data
est la valeur par défaut. Il suffit de mettre l'utilisateur et le groupe que vous souhaitez.
Modifié le :
Publié le :
Avec Virtualbox, on peut partager des répertoires depuis son hôte vers la machine virtuelle.
Par défaut, Virtualbox les monte dans /media/sf_<nom_partage>
et attribut le répertoire à l'utilisateur vboxsf
.
Pour monter automatiquement le répertoire à l'endroit de votre choix, vous pouvez modifiez le
fichier /etc/rc.local
, et ajouter cette ligne :
mount -o uid=500,gid=500,umask=002 --bind /media/sf_<nom_partage> /mon/repertoire/cible
Remarque :
Les options uid
et gid
permettent d'attribuer le répertoire à un utilisateur et à un groupe spécifique.
500
correspond par exemple à l'utilisateur d'Apache www-data
(la plupart du temps).
Modifié le :
Publié le :
Sous linux, vous pouvez rapidement connaître l'espace disque restant grâce à la commande :
df -h
Note : comme pour beaucoup d'autres commandes Linux, l'option -h
permet un affichage plus humain, notamment
pour le poids des fichiers (ie. 1.2mo au lieu de 1200000).
Modifié le :
Publié le :
Lorsque vous lancez les services de WampServer, il arrive qu'Apache n'arrive pas à démarrer à cause d'une erreur de syntaxe dans sa configuration.
Pour savoir quel fichier (httpd.conf
, httpd-vhosts.conf
, ...) et quelle ligne pose problème,
vous pouvez lancer Apache en ligne de commande :
cd D:\Dev\wamp\bin\apache\apache2.2.22\bin
httpd
Remarque : Adaptez le chemin en fonction d'où est installé WampServer et la version d'Apache que vous utilisez.
Exemple :
Modifié le :
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Pour restreindre l'accès à un répertoire ou à un site entier, vous pouvez le protéger par un mot de passe :
Pour pouvoir utiliser cette fonctionnalité d'Apache, vous aurez besoin des modules suivants : mod_auth_basic, mod_authn_file et mod_authz_user.
Vous devez également générer un fichier de mots passe, via l'utilitaire htpasswd fourni avec Apache.
Il se trouve probablement dans le répertoire bin/
de votre installation apache.
Pour cela, lancez la commande suivante :
htpasswd -c /chemin/vers/un/repertoire/protege/passwords nom_utilisateur
Remarques :
passwords
dans /usr/local/apache/passwd/
.-c
.Le fichier généré pourra ressembler à a ça :
user1:.G.h/4RfP93fd
user2:RlPRITNDHefEpl
Cette configuration peut se faire au niveau de votre virtualhost :
<VirtualHost *:80>
DocumentRoot /var/www/mon_site
ServerName mon-site.com
<Directory /var/www/mon_site>
Options FollowSymLinks
Order allow,deny
allow from all
</Directory>
<Directory /var/www/mon_site/protected>
Order allow,deny
Allow from all
AllowOverride None
AuthType Basic
# Intitulé de la mire de connexion
AuthName "Acces restreint"
# Type de provider
AuthBasicProvider file
# Fichier contenant les utilisateurs et leur mots de passe cryptés
AuthUserFile /chemin/vers/mon/fichier/passwords
Require valid-user
</Directory>
</VirtualHost>
Explications :
mon_site/
) et ses sous-répertoires sont accessibles à tousprotected/
lui, est protégé par un mot de passeRemarque :
Pour plus de sécurité, il est également judicieux de passer le site en HTTPS.
Si vous voulez gérer des accès avec plusieurs utilisateurs, il est possible de les organiser par groupe.
Vous pourrez ainsi définir que tel utilisateur appartient à tel ou tel groupe, et que tel ou tel groupe à accès à tel ou tel répertoire.
Le virtualhost est alors un peu modifié :
<VirtualHost *:80>
DocumentRoot /var/www/mon_site
ServerName mon-site.com
<Directory /var/www/mon_site>
Options FollowSymLinks
Order allow,deny
allow from all
</Directory>
<Directory /var/www/mon_site/protected>
Order allow,deny
Allow from all
AllowOverride None
AuthType Basic
# Intitulé de la mire de connexion
AuthName "Acces restreint"
# Type de provider
AuthBasicProvider file
# Fichier contenant les utilisateurs et leur mots de passe cryptés
AuthUserFile /chemin/vers/mon/fichier/passwords
# Fichier contenant les groupes et leurs utilisateurs
AuthGroupFile /chemin/vers/mon/fichier/groups
Require group_name
</Directory>
</VirtualHost>
Explication :
La propriété AuthUserFile
a été ajoutée, pour définir où se trouve le fichier contenant la liste des groupes.
La règle de restriction a également changé, elle définit maintenant le nom du groupe ayant accès au répertoire.
Remarques :
Pour utiliser ce système de groupes, vous aurez besoin du module mod_authz_groupfile
d'Apache.
Le fichier groups
contient quelque chose comme ça :
group1: user1 user2
group2: user2 user3
Contrairement au fichier passwords
, il n'est pas crypté et peut donc être créé via un éditeur de texte classique.
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Si vous avez deux versions de votre site, une desktop et une autre mobile, vous voudrez probablement qu'un utilisateur sur mobile soit automatiquement redirigé vers la version adaptée.
Cette configuration peut être définie au niveau de vos virtualhost.
Imaginons que vous ayez deux virtualhost basiques, un pour chaque version.
<VirtualHost *:80>
DocumentRoot /var/www/site_desktop
ServerName www.mon-site.com
<Directory /var/www/site_desktop>
Options FollowSymLinks
Order allow,deny
allow from all
</Directory>
</VirtualHost>
<VirtualHost *:80>
DocumentRoot /var/www/site_mobile
ServerName m.mon-site.com
<Directory /var/www/site_mobile>
Options FollowSymLinks
Order allow,deny
allow from all
</Directory>
</VirtualHost>
Si vous voulez rediriger un utilisateur qui accède au site desktop via son mobile, vers le site mobile, le premier virtualhost deviendra :
<VirtualHost *:80>
DocumentRoot /var/www/site_desktop
ServerName www.mon-site.com
<IfModule mod_rewrite.c>
RewriteEngine on
# Si le client est un navigateur mobile
RewriteCond %{HTTP_USER_AGENT} mobi [NC]
# Redirection vers le site mobile
RewriteRule ^(.*)$ http://m.mon-site.com [R=301,L]
</IfModule>
<Directory /var/www/site_desktop>
Options FollowSymLinks
Order allow,deny
allow from all
</Directory>
</VirtualHost>
Explications :
HTTP_USER_AGENT
) contient la chaîne mobi
, on applique la règle de redirection,
vers le site mobileRemarque :
Vous pouvez bien sûr faire l'inverse (mobile vers desktop), en ajoutant un !
:
<VirtualHost *:80>
DocumentRoot /var/www/site_mobile
ServerName m.mon-site.com
<IfModule mod_rewrite.c>
RewriteEngine on
# Si le client n'est pas un navigateur mobile
RewriteCond %{HTTP_USER_AGENT} !mobi [NC]
# Redirection vers le site desktop
RewriteRule ^(.*)$ http://www.mon-site.com [R=301,L]
</IfModule>
<Directory /var/www/site_mobile>
Options FollowSymLinks
Order allow,deny
allow from all
</Directory>
</VirtualHost>
Selon votre architecture ou vos besoins, vous serez sans doute amené à ajouter d'autres conditions (RewriteCond
) avant
la règle de réécriture (RewriteRule
) :
# 1. Si le client n'est pas sur iPad
RewriteCond %{HTTP_USER_AGENT} !ipad [NC]
# 2. Si le nom de domaine appelé ne commence pas par "m."
RewriteCond %{HTTP_HOST} !^m\..*
# 3. Si l'URL demandée ne commence pas par "/api/mobile/"
RewriteCond %{REQUEST_URI} !(/api/mobile/)
Explications :
!ipad|tablet [NC]
.
Plus d'informations sur le site Mozilla.En général, un site mobile ne propose pas toutes les fonctionnalités du site desktop. De plus, en fonction de la taille de l'appareil de l'utilisateur, ce dernier peut préférer utiliser le site desktop.
L'idéal est de proposer un lien vers la version desktop sur le site mobile (éventuellement l'inverse).
Le problème, c'est qu'avec les règles de redirection définies précédemment, l'utilisateur sera automatiquement redirigé en cliquant sur le lien.
Une solution est d'ajouter un paramètre à l'url, et de stocker l'information en cookie.
Le lien depuis le site mobile vers le site desktop aura par exemple pour URL http://www.mon-site?mobile=0
.
Pour cela, la règle concernant la redirection doit être améliorée :
<IfModule mod_rewrite.c>
RewriteEngine on
# Si l'URL contient le paramètre 'mobile', égal à 1
RewriteCond %{QUERY_STRING} (^|&)mobile=1(&|$)
# On ajoute un cookie
RewriteRule ^ - [CO=mobile:1:%{HTTP_HOST}]
# Si l'URL contient le paramètre 'mobile', égale à 0
RewriteCond %{QUERY_STRING} (^|&)mobile=0(&|$)
# On ajoute un cookie
RewriteRule ^ - [CO=mobile:0:%{HTTP_HOST}]
# Si l'URL contient le paramètre 'mobile', égale à 1
RewriteCond %{QUERY_STRING} (^|&)mobile=0(&|$)
# On saute la prochaine RewriteRule
RewriteRule ^ - [S=1]
# Si le client est un navigateur mobile
RewriteCond %{HTTP_USER_AGENT} mobi [NC]
# Si le cookie n'est pas égal à 0
RewriteCond %{HTTP:Cookie} !\mobile=0(;|$)
# Redirection vers le site desktop
RewriteRule ^(.*)$ http://m.mon-site.com [R=301,L]
</IfModule>
Modifié le :
Publié le :
Pour pouvoir utiliser le SSL/TLS et passer votre site en HTTPS, les paquets suivants doivent être installés sur votre serveur :
De plus, vous aurez besoin d'un certificat pour effectuer le chiffrement.
Celui-ci doit être obtenu auprès d'une autorité de certification et stocké dans un endroit sécurisé de votre serveur.
À des fins de test, ou pour un site privé, il est possible de générer son propre certificat et de l'auto-signer.
Pour cela vous devez probablement être connecté en root sur votre serveur (ou sudo) :
# Génération d'une clé privée
openssl genrsa -out my_certif.key 2048
# Génération d'un fichier CSR
openssl req -new -key my_certif.key -out my_certif.csr
# Génération de la clé auto-signée
openssl x509 -req -days 365 -in my_certif.csr -signkey my_certif.key -out my_certif.crt
Vous avez maintenant deux fichiers particuliers :
my_certif.crt
my_certif.key
Voici les paramètres standards d'Apache pour utiliser le HTTPS :
##
## SSL Global Context
##
## All SSL configuration in this context applies both to
## the main server and all SSL-enabled virtual hosts.
##
LoadModule ssl_module modules/mod_ssl.so
#
# When we also provide SSL we have to listen to the
# the HTTPS port in addition.
#
Listen 443
# Necessary if you have several virtual hosts on 443 port
NameVirtualHost *:443
# Pass Phrase Dialog:
# Configure the pass phrase gathering process.
# The filtering dialog program ('builtin' is a internal
# terminal dialog) has to provide the pass phrase on stdout.
SSLPassPhraseDialog builtin
# Inter-Process Session Cache:
# Configure the SSL Session Cache: First the mechanism
# to use and second the expiring timeout (in seconds).
SSLSessionCache shmcb:/var/cache/mod_ssl/scache(512000)
SSLSessionCacheTimeout 300
# Semaphore:
# Configure the path to the mutual exclusion semaphore the
# SSL engine uses internally for inter-process synchronization.
SSLMutex default
# Pseudo Random Number Generator (PRNG):
# Configure one or more sources to seed the PRNG of the
# SSL library. The seed data should be of good random quality.
# WARNING! On some platforms /dev/random blocks if not enough entropy
# is available. This means you then cannot use the /dev/random device
# because it would lead to very long connection times (as long as
# it requires to make more entropy available). But usually those
# platforms additionally provide a /dev/urandom device which doesn't
# block. So, if available, use this one instead. Read the mod_ssl User
# Manual for more details.
SSLRandomSeed startup file:/dev/urandom 256
SSLRandomSeed connect builtin
#SSLRandomSeed startup file:/dev/random 512
#SSLRandomSeed connect file:/dev/random 512
#SSLRandomSeed connect file:/dev/urandom 512
#
# Use "SSLCryptoDevice" to enable any supported hardware
# accelerators. Use "openssl engine -v" to list supported
# engine names. NOTE: If you enable an accelerator and the
# server does not start, consult the error logs and ensure
# your accelerator is functioning properly.
#
SSLCryptoDevice builtin
#SSLCryptoDevice ubsec
Très souvent, apache propose un fichier de configuration dédié à ce paramétrage (ex: ssl.conf
).
Vérifiez qu'il est bien inclus par le httpd.conf
, ou créez-le.
Il faut ensuite configurer un virtualhost pour le port 443
(celui par défaut pour le HTTPS) :
<VirtualHost *:443>
DocumentRoot /var/www/mon_site
ServerName mon-site.com
# SSL Engine Switch:
# Enable/Disable SSL for this virtual host.
SSLEngine on
# SSL Protocol support:
# List the enable protocol levels with which clients will be able to
# connect. Disable SSLv2 access by default:
SSLProtocol all -SSLv2
# SSL Cipher Suite:
# List the ciphers that the client is permitted to negotiate.
# See the mod_ssl documentation for a complete list.
SSLCipherSuite ALL:!ADH:!EXPORT:!SSLv2:RC4+RSA:+HIGH:+MEDIUM:+LOW
# Server Certificate:
# Point SSLCertificateFile at a PEM encoded certificate. If
# the certificate is encrypted, then you will be prompted for a
# pass phrase. Note that a kill -HUP will prompt again. A new
# certificate can be generated using the genkey(1) command.
SSLCertificateFile /chemin/vers/certifs/my_certif.crt
# Server Private Key:
# If the key is not combined with the certificate, use this
# directive to point at the key file. Keep in mind that if
# you've both a RSA and a DSA private key you can configure
# both in parallel (to also allow the use of DSA ciphers, etc.)
SSLCertificateKeyFile /chemin/vers/certifs/my_certif.key
# SSL Protocol Adjustments:
# The safe and default but still SSL/TLS standard compliant shutdown
# approach is that mod_ssl sends the close notify alert but doesn't wait for
# the close notify alert from client. When you need a different shutdown
# approach you can use one of the following variables:
# o ssl-unclean-shutdown:
# This forces an unclean shutdown when the connection is closed, i.e. no
# SSL close notify alert is send or allowed to received. This violates
# the SSL/TLS standard but is needed for some brain-dead browsers. Use
# this when you receive I/O errors because of the standard approach where
# mod_ssl sends the close notify alert.
# o ssl-accurate-shutdown:
# This forces an accurate shutdown when the connection is closed, i.e. a
# SSL close notify alert is send and mod_ssl waits for the close notify
# alert of the client. This is 100% SSL/TLS standard compliant, but in
# practice often causes hanging connections with brain-dead browsers. Use
# this only for browsers where you know that their SSL implementation
# works correctly.
# Notice: Most problems of broken clients are also related to the HTTP
# keep-alive facility, so you usually additionally want to disable
# keep-alive for those clients, too. Use variable "nokeepalive" for this.
# Similarly, one has to force some clients to use HTTP/1.0 to workaround
# their broken HTTP/1.1 implementation. Use variables "downgrade-1.0" and
# "force-response-1.0" for this.
SetEnvIf User-Agent ".*MSIE.*" \
nokeepalive ssl-unclean-shutdown \
downgrade-1.0 force-response-1.0
<Directory /var/www/mon_site>
#Options FollowSymLinks
#AllowOverride None
Order allow,deny
allow from all
</Directory>
</VirtualHost>
Explication :
Le virtualhost contient les informations habituelles (nom de domaine, répertoire racine, ...) mais également des configurations propres au SSL/TLS et les chemins vers les certificats que vous avez générés ou obtenus auprès d'une Autorité de certification.
De plus, il répond sur le port 443
et non le 80
habituel.
Pour éviter que les utilisateurs du site n'aient aucune réponse lorsqu'ils tapent
(http://)mon-site.com
dans leur navigateur, il est judicieux de rediriger les accès en HTTP vers l'URL en HTTPS.
Pour cela, ajoutez un second virtualhost gérant la redirection :
<VirtualHost *:80>
DocumentRoot /var/www/mon_site
ServerName mon-site.com
Redirect permanent / https://mon-site.com:443/
</VirtualHost>
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Pour connaitre votre distribution et sa version, utilisez la commande suivante :
lsb_release -a
Remarque :
Cette commande n'est pas forcément installée par défaut sur votre machine. Elle se trouve sûrement dans le dépôt officiel et peut être ajoutée grâce à yum ou apt.
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Screen permet d'ouvrir plusieurs terminaux dans une même console, de passer de l'un à l'autre et de les mémoriser pour les récupérer plus tard.
Si vous avez une interface graphique sous Linux, vous avez souvent plusieurs consoles d'ouvertes, ou même une seule avec plusieurs onglets.
Mais si vous n'avez pas d'interface graphique, ou si vous accédez à votre machine linux avec PuTTY, vous n'avez pas cette possibilité. C'est là que Screen entre en jeu.
Screen est disponible sur les dépôts standards. Vous pouvez donc l'installez simplement via apt ou yum.
Remarque :
Sous Debian, vous devrez peut-être ajouter des dépôts supplémentaires (Ex: Debian 7.x)
Voici un cas d'utilisation classique de Screen.
Tout ça est possible avec Screen et ces quelques commandes
Accédez au serveur en SSH comme d'habitude, depuis votre machine A au boulot
Créez un nouveau screen en nommant la session :
screen -S ma_session
Exécutez une commande, connecté en user1
Ouvrez un nouveau terminal avec CTRL + A
, puis C
Changez d'utilisateur (user2) et exécutez une commande
Naviguez vers l'autre terminal (connecté en user1) avec CTRL + A
, puis N
Exécutez une commande, connecté en user1
Détachez le screen (il reste actif mais vous n'y êtes plus connecté) avec CTRL + A
, puis D
Éteignez la machine A, retournez à la maison
Allumez votre machine B à la maison, et connectez-vous au serveur en SSH comme d'habitude.
Récupérez votre session screen :
screen -r
Vous récupérez ainsi les deux terminaux dans l'état où vous les avez laissés.
Remarque :
Si vous avez plusieurs sessions en cours, screen -r
vous en affichera la liste.
Il faudra utiliser screen -r nom_de_session
pour choisir celle que vous souhaitez récupérer.
CTRL + D
.
Si c'était le seul, cela quittera screen.CTRL + A
, puis A
CTRL + A
, puis ECHAP
Vous pouvez maintenant naviguer avec les flèches et pageUp
/pageDown
.screen -x ma_session
exit
screen -d ma_session
CTRL + A
puis tapez :nom_session new_nom_session
et validez avec Entrée
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Sous Linux, vous pouvez personnaliser l'invite de commande, pour y mettre un peu de couleur ou modifier ce qu'il y a avant le prompt.
Ex :
Pour cela, éditez/créez le fichier ~/.bashrc
de votre utilisateur en y ajoutant cette ligne :
PS1='\[\e[33;01m\]\u \[\033[31;01m\][\[\033[0;37m\]\w\[\033[31;01m\]] \$\[\033[00m\] '
Dans cette ligne, les blocs de la forme \[\e[33;01m\]
, \[\033[31;01m\]
et \[\033[0;37m\]
définissent les
couleurs à utiliser : respectivement jaune, rouge et gris clair.
\u
affiche l'utilisateur et \w
le chemin courant. \$
affiche $ pour un utilisateur et # pour le root.
Il y a plein d'autres paramètres disponibles, pour afficher l'heure, le nom de la machine, ...
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Pour créer un lien symbolique sous Windows, il faut utiliser la commande symlink
:
mklink [[/D] | [/H] | [/J]] <Lien> <Cible>
Pour cela, lancez une invite de commande :
cmd
et validezSi par exemple vous souhaitez pouvoir accéder au répertoire C:\Windows\System32\drivers\etc
directement via C:\etc
, tapez cette commande :
mklink /J C:\etc C:\Windows\System32\drivers\etc
Remarques :
/D
et non pas /J
. Cela créera un lien symbolique et non pas une jonction.Modifié le :
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Sous Linux, vous avez l'habitude d'utiliser la touche TAB
pour trouver automatiquement
la fin du nom d'un fichier ou d'un répertoire.
La même fonctionnalité existe pour Windows sous DOS, mais vous devez utiliser des
antislash \
au lieu des slash /
dans vos chemins.
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Sous Linux, pour savoir les tâches planifiées pour l'utilisateur courant, utilisez la commande suivante :
crontab -l
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Par défaut, le pare-feu bloque les ports utilisés par Apache, à savoir 80
et 443
.
Pour autoriser une machine distante à se connecter à Apache, ajoutez les lignes suivantes au
début du fichier /etc/sysconfig/iptables
:
-A RH-Firewall-1-INPUT -p tcp -m state --state NEW -m tcp --dport 80 -j ACCEPT
-A RH-Firewall-1-INPUT -p tcp -m state --state NEW -m tcp --dport 443 -j ACCEPT
Redémarrez maintenant le pare-feu pour qu'il prenne en compte la modification :
service iptables restart
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Sous Linux, pour connaitre les modules chargés par Apache, utilisez la commande :
/usr/local/apache/bin/httpd -M
Remarque :
Selon votre distribution, remplacez httpd
par apache
ou apachectl
.
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Lorsque vous lancez Apache sous Linux, via une commande du type :
/sbin/service apache start
Vous pouvez obtenir l'erreur suivante :
Syntax error on line xxx of /usr/local/apache2/conf/httpd.conf: Cannot load /usr/local/apache2/modules/libphp5.so into server: /usr/local/apache2/modules/libphp5.so: cannot restore segment prot after reloc: Permission denied
Pour corriger l'erreur, exécutez la commande suivante :
chcon -t textrel_shlib_t /usr/local/apache2/modules/libphp5.so
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Pour ajouter une variable d'environnement ou en modifier la valeur, utilisez la commande :
export INSTALL4J_JAVA_HOME='/var/lib/jdk1.6.0_33'
en remplaçant INSTALL4J_JAVA_HOME
par le nom de la variable à définir et en modifiant la valeur entre 'quotes'.
Pour que cette variable soit définie automatiquement lorsque vous utilisez la console, il faut modifier le fichier
.bashrc
dans le dossier home de l'utilisateur pouvant utiliser cette variable.
Pour l'utilisateur root
par exemple, il s'agit du fichier /root/.bashrc
.
Dans ce fichier, ajoutez la même commande :
export INSTALL4J_JAVA_HOME='/var/lib/jdk1.6.0_33'
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S'il vous arrive d’utiliser l’outil de ligne de commande DOS sous Windows, vous savez que par défaut,
celui-ci se positionne dans votre répertoire personnel.
C'est assez pénible car à chaque fois, vous êtes obligé de faire plein de cd machin
pour arriver au répertoire de votre choix.
Pour éviter de refaire cette manip à chaque fois (surtout si c'est pour se rendre toujours au même endroit), vous pouvez modifier le chemin utilisé par défaut.
Il suffit d’aller dans la base de registre (Démarrer > Exécuter... > regedit) et de naviguer
jusqu’à la clé HKEY_CURRENT_USER \ Software \ Microsoft \ Command Processor
.
Créez ensuite une nouvelle valeur chaîne dans la zone de droite et nommez-la Autorun
.
Modifiez ensuite cette clé et donnez-lui la valeur suivante en remplaçant bien sûr mon\chemin
par celui de votre choix :
cd /d d:\mon\chemin
Et voilà, les changements s'appliquent instantanément sans besoin de redémarrer. (Relancez tout de même votre invite de commande si elle était déjà ouverte.)
Remarque importante :
Cette manip semble poser problème dans certains scripts batch utilisant %CD%
.
Rendez-vous dans le répertoire où vous souhaitez ouvrir votre invite de commande, via l'explorateur Windows.
Faites Shift
+ Clic droit
et choisissez Ouvrir un invite de commande ici. Et voilà c'est fait.
Cette solution est beaucoup moins intrusive et plus simple mais vous devez refaire la manip à chaque fois.
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Pour créer une archive tar.gz
sans le dossier conteneur, utilisez la commande :
cd mon/repertoire/conteneur
tar -czf ../archive.tar.gz ./
Pour extraire une archive tar.gz
, utilisez la commande :
tar -xvzf archive.tar.gz
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Pour supprimer récursivement tous les répertoires vides d'une arborescence, utilisez la commande :
find -depth -type d -empty -exec rmdir {} \;